C'est a Laurent Boyer et Catherine Lara que France 3 a demandé de relancer l'intéret du public français pour le concours de l'Eurovision. Lorsque la célèbre Rockeuse de Diamants pousse la porte des Plus Belles Lunettes du Monde, j'ai cru voir défaillir de plaisir ma Maitresse Sandrine !!! si peu de temps après l'ouverture du nouveau concept store au 23, rue François 1er, accueillir l'un des plus grande musicienne française fut pour Sandrine un moment très fort...
Il n'a pas fallu bien longtemps pour que les deux femmes s'entendent pour demander à la maison Emmanuelle Khanh un modèle de lunette exclusif en acétate cristal parsemée de Strass avec des verres Optiswiss parfaitement dégradés et ornés eux aussi d'un strass... Que proposer de plus élégant à une Rockeuse de Diamants?
Si depuis hier, vous cherchiez ou trouver de si belles lunettes que celle de Catherine Lara, il n'existe guère plus à Paris que le "Paradis des lunettes", Les Plus Belles Lunettes du Monde, où vous trouverez accueil et créativité pour répondre à toute vos envies...
Pour revoir l'émission consacrée à la candidature d'Amaury Vassili : http://www.pluzz.fr/en-route-pour-l-eurovision-.html
Boubou.
Aujourd'hui, les lunettes solaires sont de mise... en toutes saisons... Hiver en ville, été au bureau, les lunettes solaires sont envisagées comme de véritables accessoires de style, ajoutant une note singulière et glamour à celles et ceux qui ne les quittent plus. De jour... comme de nuit.
Souvenons-nous des "Lunettes noires pour nuits blanches", amusons-nous des joueurs de poker qui en font un outil stratégique lorsqu'il s'agit de ne pas dévoiler "leurs cartes".
Chez Les Plus Belles Lunettes Du Monde, nous sommes bien entendu enchantés par cette tendance. Les designers et les ateliers, quant à eux, rivalisent de créativité et d'audace, allant toujours plus loin en terme de design et de confort.
Tout ceci ne doit pas nous faire oublier que les lunettes solaires sont AUSSI destinées à protéger nos yeux de la réverbération et de la luminosité, y compris en ville, ainsi que le contour de l'oeil, à la peau fine si sensible aux plissements et à la lumière.
Quelques conseils donc et d'abord, "IL NE FAUT PAS FAIRE N'IMPORTE QUOI" : comme par exemple, acheter des lunettes dites de soleil mais uniquement équipées de verres teintés "pour faire joli". Une catastrophe ! En effet, sous l'effet de ces verres teintés non protecteurs, la pupille se dilate naturellement pour y voir mieux, laissant passer ainsi plus de lumière et par là-même de rayons ultra-violets dommageables de façon irréversible pour la rétine.... Brrrrrrr !!!
Choisissez des verres polarisants, stoppant net toute réverbération, ou encore des verres Transition (c), qui foncent avec la l'intensité de la lumière. Tout en protégeant idéalement les yeux, ils améliorent la perception des contrastes, apportant un confort de vue inégalé en toutes circonstances.
Tous ces verres sont parfaitement adaptables aux défauts visuels que vous soyez myopes ou presbytes, etc., et existent en version progressive ou à simple foyer.
Quand toutes camouflaient leur myopie, elle affirmait la sienne en élaborant des lunettes voyantes qui allaient rendre courage à deux générations de binoclardes !
Emmanuelle Khanh, germanopratine libérée, habillait les femmes des années 70 d'une mode qui leur ressemblait : robes sacs, parapluies transparents... Du blanc, de l'ivoire, mais aussi du pied de poule, un charme anglais décalé, et puis des tenues toniques pour ces femmes qui soudain s'étaient mises à oser, tout, haut et fort.
Ses propositions, immédiatement reconnaissables, étaient à la fois fortes et fluides, tendres et stylées, mais également abordables. A quoi bon de grands discours sur la libération de la femme, si, dans le même temps, on lui inflige des étiquettes à donner le vertige ?
Femme de son temps, Emmanuelle Khanh n'est pas tombée dans ce paradoxe et pour cela, nous plébiscitons ce style, encore et toujours !
Images couverture Elle Magazine août 1977 (à gauche) et double page Elle Magazine juin 1977 (tenue EK à droite, les autres modèles sont signés Kenzo)
+ Source Doucement le matin
La marque mythique des grandes années rebelles est mise en scène autour de la
collection de lunettes optiques (inédites et en avant-première) et solaires et des lignes de sacs, bijouterie
ainsi que la mode masculine 2010.
"Trunk Show" les 27 et 28 novembre 2009
Image extraite du Book Emmanuelle Khanh Paris 2010 (c)
... Porté par une décennie qui ne l'était pas moins sur tous les plans : les années 60. The swinging 60's...
"Emmanuelle Khanh was often called the "French Mary Quant."
She was known for her youthful approach to fashion, and also designed for the American "YouthQuake" label." (*)
Source Fuzzy Lizzie Vintage USA
(*) Emmanuelle Khanh était souvent appelée "la Marie Quant française". Elle était connue pour une approche rajeunie de la mode, et a travaillé très tôt pour le label américain "YouthQuake".
Peu de gens, en dehors des milieux modeux, se souviennent encore du YouthQuake (traduction littérale : tremblement de terre de la jeunesse).
Il s'agissait d'un mouvement global exprimé notamment dans les domaines de la mode, de la musique, des arts plastiques. C'est la rédactrice en chef du Vogue américain, Diana Vreeland, qui a lancé cette dénomination en 1963. La mode de YouthQuake était avant tout drôle, inspirée et fraîche : les mini jupes, bien sûr, et les combinaisons.
Twiggy "the wonderkid" a été l'emblème des Youthquakers, se retrouvant fréquemment en couverture des magazines de mode de l'époque. Mary Quant ainsi que Betsey Johnson étaient parmi les figures de proue du mouvement, aux côtés d'Andy Warhol et de ses muses. Véritable ancêtre du streetstyle, le Youthquake a transformé les rues en catwalks...
Images : tenues Mary Quant, la supermodel Twiggy en couverture de Newsweek 1967
"I have always refused to wear glasses because I thought it was ugly, and as a consequence of this whim I have experienced quite a few annoyances: ignoring my best friends, throwing my arms around some total strangers' neck..., but most embarassing, as I was waiting for a taxi to pick me up some place, I got inside the personal car of someone I never met before!" (*)
Citation de Madame Emmanuelle Khanh auprès d'Optitrend USA.
Depuis qu'elle a créé ses premières lignes de très grandes lunettes à la fin des années 60, Emmanuelle Khanh n'a plus jamais eu ce type de mésaventure, faisant de ses lunettes des accessoires essentiels de sa vie quotidienne et la signature de son style exceptionnel....
1969... 2009...
La Boutique Ephémère Emmanuelle Khanh
du 23 novembre au 11 janvier
16 rue du Pont Neuf à Paris
de 10 h à 19 h 30
"Trunk Show" les 27 et 28 novembre 2009
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(*) "J'avais toujours refusé de porter des lunettes parce que je trouvais cela hideux. Et pour cette raison, j'ai eu quelques petites expériences malheureuses : ne reconnaissant pas mes meilleurs amis tout en me jetant au cou de parfaits étrangers... mais le plus embarrassant épisode a était le jour où attendant un taxi, je suis montée dans la voiture particulière d'une personne que je ne connaissais pas du tout !"
Du 23 novembre 2009 au 11 janvier 2010, nous accueillons, en exclusivité, la BOUTIQUE EPHEMERE EMMANUELLE KHANH.
1969... 2009... La marque mythique des années rebelles, alliance de superbe vintage et de modernité, sera mise en scène autour de la collection de lunetterie, les sacs à main, la bijouterie ainsi que la mode masculine 2010.
En avant-première mondiale, la collection optique Emmanuelle Khanh.
Deux journées particulières sont destinées à nos amis et clients : le vendredi 27 et le samedi 28 novembre.
Et d'ici là, retrouvez l'ensemble de la collection Emmanuelle Khanh Paris sur le site Les Plus Belles Lunettes Du Monde...
La styliste Emmanuelle Khanh a toujours de grosses lunettes...
C'est ainsi que l'on peut évoquer, en quelques mots, cette très grande styliste et designer qui a marqué de son empreinte la mode des années 70 en France. Emmanuelle Khanh a touché à tout : lingerie raffinée, vêtements, lainages, et surtout ses accessoires dont les fameuses lunettes surdimensionnées et en 3 coloris vedettes : ivoire, rouge, noir.
Elle a inventé la célèbre robe-sac, imitée mais jamais égalée, qui arrivait en dépit de sa totale déstructuration, à mettre en valeur toutes les silhouettes : ultra-ceinturées pour les minces, ultra-fluide pour les enrobées.
Elle a découvert et travaillé des textiles et des coloris inédits : des micro-motifs se fondant dans des coloris très doux, des lainages à même la peau et qui ne piquaient pas. Griffée, recherchée, reconnaissable mais abordable, la mode Emmanuelle Khanh a accompagné les femmes de la fin des années 60 au tout début des années 80. Les paillettes et le show off, le superficiel et l'épisodique, très peu pour la Dame !
Aujourd'hui, cette grande saga revient sur le devant de la scène avec une remarquable collection de lunettes, montures de vue et solaires : les grands classiques d'une part, au design inchangé, mais aux matériaux nouveaux et légers. Une façon remarquable d'être à la fois vintage et très contemporaine. Et les modèles revisités par le designer Thierry Lasry qui a collaboré étroitement à la renaissance de la marque.
Les montures sont réalisées dans le Jura, au sein de l'atelier-même qui a réalisé les toutes premières collections de l'époque d'après les dessins et les désirs de Madame Emmanuelle Kahn. Les croquis sont ressortis des tiroirs, les vétérans se sont mis au travail. Résultat : une exceptionnelle collection, à la fois ébouriffante et remarquablement seyante, pour tous les visages. Une collection intemporelle et extrêmement contemporaine dont on voit à quel point le design a influencé les créateurs de montures.
La styliste Emmanuelle Khanh a toujours de grosses lunettes.... A notre tour de les porter avec audace et beauté ! Pari gagné avec Sandrina, ma top model favorite ?
Signé : Boubou !